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J'espère qu'elle me fera beaucoup de bébés.
J'ai tout de suite accepté lorsque mon journal m'a proposé d'aller faire une enquête au
Burkina Fasso, dans ce pays lointain situé en Afrique. Je n'avais jamais mis mes pieds
sur le continent africain et pour moi c'était une belle promotion de me rendre sur cette
terre inconnue, où j'allais connaître des aventures extraordinaires.
J'avais bien sur déjà réalisé de nombreux reportages en France et même dans pas mal de pays européens, et c'est sans hésiter que je me rendais au cours de ce mois d'août à l'aéroport pour prendre mon avion. L'appareil décolla à 11 heures du soir.
'étais assez fatigué après ma semaine de travail, mais de me retrouver le samedi soir à bord de ce Boeing, qui allait en quelques heures me transporter au bout du monde cela me grisait.
Confortablement installé sur mon siège, je ne tardais pas à m'endormir, lorsque je fus réveillé en sursaut, une main me caressait le cou, puis s'enhardit et je sentis qu'elle déboutonnait ma chemise et que ma poitrine nue palpitait sous les doigts experts de cette mystérieuse personne. Bientôt je me rendis compte que mon corps l'attirait irrésistiblement, je levais les yeux et je souris à une jeune fille qui me semblait assez timide quand même et qui me demanda discrètement si j'étais d'accord pour que nous allions nous installer au fond de l'avion où il y avait encore deux places de libre.
Pas d'hôtesse en vue, donc tout allait pouvoir se dérouler sans problème. Je me décidais donc de la suivre.
Nous étions plongés dans l'obscurité et je dois vous avouer qu'en quelques secondes, je fus dépouillé de mes vêtements, mon pantalon, mon T-shirt, furent ôtés sans que je puisse dire un mot et après un moment d'hésitation, je baissais moi même mon slip .Elle en fut ébahie, car elle découvrit un spectacle assez excitant. Ce n'est pas tous les soirs que l'on peut contempler une jeune homme complètement nu dans un avion devait-elle penser. Je savais que je rougissais car je n'avais pas souvent montré mon cul à une femme dans de pareils circonstances, j'avais bien laissé ma camarade de classe enfoncer son doigt dans mon trou du cul, lorsque j'étais un gamin d'une quinzaine d'années, mais ce soir qu'allait il se passer ?
Je ne voyais pas très bien, les spots incrustés dans le plafond n'éclairaient pas de façon éblouissante mais j'ai senti soudain une main qui commençait à exercer une délicieuse caresse sur mon cul, puis tout en continuant à me caresser, ses lèvres s'approchèrent lentement de ma bouche pour imprimer un long baiser, mon cœur battait la chamade. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais je ne pu m'empêcher de baisser à mon tour son pantalon, à retirer sa petite culotte. J'avais du mal à enfoncer mon doigt dans sa chatte et je pensais le nombre de bébés qu'elle aurait pu faire avec moi lorsque le jeune fille soupesait mes couilles contenant une quantité incroyable de spermatozoïdes logés dans mes deux boules qui la narguaient ?
Elle les lâcha bientôt et je passais ma main sur son cul, dans son petit trou d'amour que je rêvais de pénétrer...
Soudain elle murmura à mon oreille :
" Tu sais tu m'excites, jamais je n'ai vu un postérieur aussi joli chez un homme, j'aime ton derrière, j'aime ton derrière, j'aime ton beau cul ". Elle avait à peine proféré ces paroles que je la plaquais tendrement contre le siège, je me postais derrière elle et cherchais une de ses ouvertures, tout en me confiant que son vagin était très serré, aussi étroit qu'une très jeune fille et je ne n'en croyais par mes yeux, si on peux dire, car généralement les garçons disent que les filles sont très étroites, lorsqu'ils entreprennent d'entrer leur verge dans leur anus.
J’empoignais ses deux seins lourds dans mes paumes et la pénétra d'une seule poussée, c'était assez difficile pour moi d'entrer entièrement dans son vagin qui était presque tout neuf, pas assez souvent utilisé peut-être et je posais mes mains à plat sur ses reins pour l'introduire plus profondément en elle.
Son cul se souleva violemment je la baisais pendant 15 minutes, puis je me répandis dans son ventre, je sentais une coulée brûlante de succulente liqueur d'amour et je me mis à jouir sans interruption, pressant délicatement ma verge dans son vagin pour en extraire les dernières gouttes de sperme. Je promenais une main langoureuse sur le dos de ma jeune amie et je lui dis a voix basse "C'était bon, j'en avais vraiment envie, je vais caresser tes seins maintenant. Elle avait des seins très fermes et je trouvais les pointes dans les mamelons et je commençais à les pétrir doucement. Quelques instants plus tard, pris par une inspiration subite je la mis à quatre pattes.
Docilement elle tendit son cul m'offrant ses deux hémisphères dorés, mais je ne voulais pas pénétrer son petit trou, car ça lui aurait fait trop mal. Elle me confessa "Ah j'ai une copine qui adore, si c'était possible tu l’enculerais devant moi, je la tiendrais et elle se laissera faire"…
Stimulé par ce fantasme, j'explosais pour la deuxième fois dans son ventre.
Mais elle voulait encore goûter à ma bite et cette fois elle ne désirait plus que je l'enfonce dans son petit minou préférant la happer comme une plante carnivore. Je l'entendais exhaler de petits soupirs sensuels. J'entrais dans sa bouche qui était torride, car j'étais décidé à bien profiter de cette aubaine extraordinaire, trop content à la pensée que dans quelques minutes je pourrais déverser mon miel d'amour dans sa gorge et lui demanderais très poliment de tout avaler bien entendu.
Elle adorait boire le sperme des garçons, elle trouvait que le sperme a une saveur extrêmement agréable pourtant j'ai connu beaucoup de mes amies, qui après avoir autorisé leur copain à jouir dans leur bouche recrachaient systématiquement la divine liqueur, ce qui n'est pas bien je pense.
Nous regagnâmes nos places après ce divertissement amoureux et la nuit se passa bien tranquillement.
L'avion atterrit à l'aéroport d'Ouagadogou à 7 heures du matin où une collègue journaliste m'accueillit avec beaucoup d'enthousiasme.
C'était la correspondante de mon journal "Svenska Dabladet"
Nous nous rendîmes au journal et je participais à la conférence de rédaction. J'avais très vite sympathisé avec Zulma qui avait fait ses études de journalisme en Suède. C'était une jeune Africaine très belle et très douce.
Elle accepta de dîner le premier soir avec moi et après le dîner me fit visiter les environs puis m'emmena prendre un dernier verre chez elle. Elle m'invita à écouter de la musique typique de son pays et assis sur son lit à ses côtes j'étais bien. Elle se rapprocha bientôt de moi, et je déplaçais la tête pour que ma bouche arrive exactement en face de la sienne.
Lorsqu'elle effleura ma bite, je devinais ce qu'elle désirait et quand mes doigts se posèrent sur son pantalon à l'endroit où se trouvait son con, elle sursauta mais ne refusa pas ma caresse. Je me mis à la masser tandis que ma langue tournoyait comme une toupie dans sa bouche. Elle éprouva un surprise délicieuse, lorsque en sentant mes doigts je descendis son zip et pour les glisser à l'intérieur de son pantalon. Sa chatte était très étroite J'imaginais qu'elle avait une chatte merveilleuse, mais je n'avais encore jamais vu le minou d'une Africaine et cela m'excitait énormément à la pensée de la découvrir et de la goûter bientôt. Elle était nue maintenant comme moi et en un clin d'œil elle se retrouvait à genoux en face de moi et j'enfonçais mon membre durci au fond de sa gorge. Il était très long et atteint sa luette, elle pouvait à peine respirer, mais pour elle c'était bon de sucer cette virilité, ce membre qui est l'instrument qui permet de donner la vie et qui procure tant de plaisir aux filles lorsqu'elles le reçoivent dans une de leur cavité, qu'elle soit buccale, vaginale ou anale. La fellation elle savait me la prodiguer, elle la faisait avec tout son cœur conscient qu'elle me faisait du bien.
J'avais l'impression qu'elle sentait l'exotisme, le soleil, la fureur sexuelle.
A ce rythme d'enfer, Zulma eut envie que je conclus, je la retournais sur le ventre et je m'enfonçais en elle, je frémis et je poussais un gémissement peut être difficile à interpréter, lorsque négligent son ventre, j’appuyais ma pine directement contre l'entrée de ses reins. Sans hésiter je poussais de tout mon poids et je sentis mon pénis s'enfoncer dans son anus et disparaître entièrement, avalée par la corolle brune. Elle poussa un cri :
"Non, non ça fait mal, arrête s'il te plaît, je sais que c'est bon pour toi de me pénétrer de la sorte, mais je t'en prie cesse vite".
Je la saisis par les hanches et retirais ma verge presque entièrement, puis revint en force lui arrachant un nouvel hurlement de bonheur cette fois. Je continuais sentant la gaine qui m'accueillait, s'assouplir progressivement. Finalement elle accepta que je la pénètre ainsi et elle murmurait :
"S'il te plaît jouis dans mon cul, je veux sentir ton foutre ruisseler dans mon trou du cul maintenant…"
Je giclais ma semence pendant de longues secondes, c'était chaud, ça lui faisait bon partout, elle se sentait dans un autre monde où l'on ne vivait que pour l'amour où toutes les filles font l'amour dès leur enfance, se marient très tôt et font beaucoup de bébés.
Le trou du cul de mon amoureuse était si serré que je pensais que je ne pourrais jamais m’enfoncer dans ce trou exquis, bien sur il n’était pas aussi serré que le trou du cul de ma petite sœur de 14 ans que son copain âgé de 15 ans avait enculée sur une plage déserte en juillet dernier.
Après un repos bien mérité ma jeune amie me demanda de m'allonger sur le dos, car elle désirait faire "69" et elle s'allongea à son tour sur mon ventre et je sentis sa chaleur qui m'excita au point où je devenais fou, je posais mes main sur son cul et je commençais à le lécher, à le lécher, je suçais délicatement son petit trou, sa petite pastille plissée, oui je le léchais ce beau derrière et je sentais aussi sa langue investir le mien de postérieur. Elle était fière de son cul qui n'était ni gros, ni petit, en fait elle avait un cul qui plaisait aux hommes, j'en étais certain.
Zulma me fit l'amour toute la nuit dans son vagin et je me demandais si je ne risquais pas de
l' engrosser, car elle n'était pas sure d'avoir pris la pilule ce soir la.
Je suis rentré en France depuis quelques semaines et Zulma m'a écrit que dans neuf mois elle m’enverra la photo du bébé que je lui avais fait après cette nuit d'amour.
Elle était enceinte, j'en étais ravi et très heureux d'avoir engrosser cette jeune fille au cours de mon séjour dans ce pays qui m'a permit de rencontrer Zulma que j'aime et qui sera bientôt ma femme.
Lorsque nous serons mariés, j'espère qu'elle me fera beaucoup d'autres bébés.
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